Adapter le roman de Camus en mettant bout-à-bout le plus grand nombre possible de saynètes n’est peut-être pas la meilleure manière de procéder : cela nous donne une pièce longue et verbeuse aux acteurs quasi immobiles et dont le propos doit être explicité (!) en toute fin de spectacle afin de comprendre où le metteur en scène veut en venir, mais elle ravira cependant ce type de spectateur pseudo-intellectuel qui aime à chercher des qualités dans la médiocrité.
Adaptation de Fabrice Gardin au théâtre royal des galeries
Test de Bechdel 🔻🔻🔻